Vacance au pays perdu, Philippe Ségur
Présentation de l’éditeur : Un graphiste spécialisé dans le packaging de produits alimentaires, végétarien et tyrannisé par ses enfants, rêve d’ailleurs et d’aventure. Le jour où il découvre que les salades, purées, épinards et pâtes dont il conçoit les emballages, sont bourrés de pesticides, d’hormones de croissance et d’antibiotiques, il décide de rompre avec le système et de fuir la société de consommation. Il s’embarque alors avec son meilleur ami pour un périple qui lui fera découvrir, loin des circuits touristiques, le dernier pays des merveilles : l’Albanie.
Voilà typiquement le genre de livre qui m'ennuie vite. Ca s'annonce bien, pourtant : des pérégrinations de nantis dans un pays pauvre. Mais nos deux "héros" s'avèrent vite être nombrilistes et hypocondriaques, pétris de contradictions d'occidentaux capricieux, avides d'aventure en rupture avec la société de consommation, mais avant tout soucieux de leur confort... Ca n'en finit pas, on tourne en rond, je n'y trouve aucun intérêt. Ce roman est sûrement plein d'humour, mais je n'accède pas à ce degré là. Je jette donc l'éponge page 92.
Je vous invite à découvrir l'avis de Solenn, moins décourageant.
Vacance au pays perdu, Philippe Ségur, LGF, Le livre de Poche, février 2010, 216 p.