
J'appréciais beaucoup Woody Allen et son côté pauvre type rongé par le doute, la culpabilité... à une époque (fort lointaine). J'aime toujours les losers angoissés dans les films, les romans, les BD (cf. Marco), ceux qui souffrent, qui morflent vraiment. Mais les poseurs qui pratiquent la m*sturbation intello-nombriliste-hypocondriaque effrénée m'agacent très vite, désormais. Virgile est de ceux-là. Jeune nanti bossant dans la pub, il reçoit sur son portable un message de rupture de Clara. Le choc est rude... Et pourtant il n'existe...
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