
Après avoir partagé les bêtises du turbulent petit Jung, nous le retrouvons en proie aux affres de l'adolescence : l'attirance pour les filles, mais la peur de se lancer, les problèmes familiaux et identitaires de cet âge, accrus par son statut d'adopté et par son origine coréenne dans ce pays d'Europe.
Le ton est beaucoup moins drôle que dans le premier volet, même si l'auteur a un regard acéré et sans complaisance sur ses états d'âme, et pratique pas mal l'auto-dérision. Certaines pages sur l'adoption sont poignantes,...
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