15 octobre 2012
~ Comme des larmes sous la pluie, Véronique Biefnot
Séquestration, enfance maltraitée, solitude, relations épistolaires, bluette… Tout cela, non pas dans cet ordre, mais en alternance dans ce livre - pour entretenir un suspense ? Les mystères sont vite devinés, sauf le(s) plus rocambolesque(s).
En gros j'ai eu l'impression de lire un patchwork de Glattauer, Fouchet, Donoghue, et de tant d'autres qui surfent sur ces vagues juteuses avec plus ou moins d'habileté - l'affaire NK inspire décidément les auteurs... On trouve également un petit quelque chose de Thilliez (ouf !) et de T. de Rosnay sur certaines thématiques.
A part ça, eh bien, c'est bourré de poncifs dans les dialogues, de coïncidences dans les situations, de clichés dans les sentiments. Et cousu de fil blanc en prime, avec une pincée de chamanisme pour couronner le tout. Heureusement, on avance vite : chapitres courts, écriture simple et fluide, zapping possible des harlequinades, ce qui a rendu la lecture aisée malgré mon agacement croissant.
Merci Valérie - c'est ma faute s'il était dans ma LAL !
etc. - 14 & 15 octobre
Comme des larmes sous la pluie, Véronique Biefnot, Le Livre de Poche, mai 2012, 360 p.
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