
Le titre se réfère aux reflets perçus par le narrateur dans des vitrines - images de lui-même et de sa fille qu'il accompagne pour son premier jour d'école. Cela apaise un peu la crainte du lecteur d'avoir affaire à un récit narcissique, puant d'autosatisfaction (même si cette phrase arrive tard, après 90 pages)...Cela dit, on n'est guère loin de l'autofiction ; les aventures de cet homme semblent bien inspirées d'expériences personnelles. On a ainsi droit à quelques zooms superficiels sur une vie banale : évocation de parents...
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