
Gallimard, 18 août 2016, 227 p.
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Chanson douce... ou plutôt oraison funèbre. Première page : un carnage. Un bébé mort et une fillette grièvement blessée. Leur assassin s'est acharné sur la petite, et semble être resté sur place. Le développement du roman nous indiquera comment le coupable a pu en arriver là. On rembobine. Myriam est avocate, Paul travaille dans la production musicale. Après la félicité des premiers mois à pouponner, la jeune maman tourne en rond dans un minuscule appartement parisien, déprime, s'aigrit, elle...
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