
Julliard, 2001Pocket, 152 p.
- abandon -
Quand on apprend la maladie d'un proche aimé, tout s'effondre. Mais devant lui, pour lui, il faut rester fort, et digne. Ce n'est pas à lui de faire bonne figure pour nous rassurer : « Je préférerais qu'on lui témoigne un peu de compassion, qu'on profère des encouragements, même maladroits, même mensongers, plutôt que ce spectacle pitoyable de gens considérant simplement leur propre chagrin, leur propre douleur à venir. » C'est la leçon que je retiens de mon expérience, c'est le message...
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