Gallimard, 2016
Folio, 1 février 2018, 288 p.
♥♥♠♠♠
« Vous avez lu l'histoire de Jesse James ?
Comment il vécut, comment il est mort...
Ça vous a plu, hein ? Vous en d'mandez encore ?
Eh bien écoutez l'histoire de Bonnie & Clyde. » ♪♫
J'avais aimé ce film (Arthur Penn, 1967) avec le couple Faye Dunaway & Warren Beatty - so sexy ! 😍
J'ai failli adorer ce Romanesque de Tonino Benacquista.
Ici aussi, un couple en cavale.
Avec en prime une mise en abyme : les deux fuyards assistent à une pièce ressemblant fort à leur propre histoire.
Plutôt que 'romanesque', j'aurais qualifié ce récit de théâtral, épique, fabuleux. Il commence comme un conte, un conte cruel.
Et comme le dit si bien l'auteur « celui qui a fait confiance au conteur en entrant dans son histoire se prévaut légitimement des vertus de ses personnages. Il s'entiche du héros, puis le devient lui-même, et c'est bien la force du conte sur la leçon de morale. »
Voilà : un conte est plus fort qu'une leçon de morale.
Sauf que... ce que j'apprécie dans les contes, c'est aussi la brièveté et la simplicité.
Cette lecture m'a vite paru indigeste : style de plus en plus pompeux, aventures interminables à travers les âges et les continents de ces amants maudits, chassés de l'Eden.
De moins en moins sous le charme, je me suis ennuyée, j'ai décroché, me suis énervée, ai essayé de poursuivre de plus en plus distraitement, ai finalement commencé un autre livre en me promettant de reprendre celui-là.
Il ne restait que soixante pages, tant pis, j'ai décidé de ne plus y revenir...
Comment il vécut, comment il est mort...
Ça vous a plu, hein ? Vous en d'mandez encore ?
Eh bien écoutez l'histoire de Bonnie & Clyde. » ♪♫
J'avais aimé ce film (Arthur Penn, 1967) avec le couple Faye Dunaway & Warren Beatty - so sexy ! 😍
J'ai failli adorer ce Romanesque de Tonino Benacquista.
Ici aussi, un couple en cavale.
Avec en prime une mise en abyme : les deux fuyards assistent à une pièce ressemblant fort à leur propre histoire.
Plutôt que 'romanesque', j'aurais qualifié ce récit de théâtral, épique, fabuleux. Il commence comme un conte, un conte cruel.
Et comme le dit si bien l'auteur « celui qui a fait confiance au conteur en entrant dans son histoire se prévaut légitimement des vertus de ses personnages. Il s'entiche du héros, puis le devient lui-même, et c'est bien la force du conte sur la leçon de morale. »
Voilà : un conte est plus fort qu'une leçon de morale.
Sauf que... ce que j'apprécie dans les contes, c'est aussi la brièveté et la simplicité.
Cette lecture m'a vite paru indigeste : style de plus en plus pompeux, aventures interminables à travers les âges et les continents de ces amants maudits, chassés de l'Eden.
De moins en moins sous le charme, je me suis ennuyée, j'ai décroché, me suis énervée, ai essayé de poursuivre de plus en plus distraitement, ai finalement commencé un autre livre en me promettant de reprendre celui-là.
Il ne restait que soixante pages, tant pis, j'ai décidé de ne plus y revenir...