~ DADA n° 234 : Giacometti

Arola, février 2019, 52 p.

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D'Alberto Giacometti, je connaissais les personnages filiformes, comme son 'Homme qui marche' (décliné en 4 versions, la première en 1947, les autres en 1960).

Grâce à ce numéro de DADA, j'ai appris que Giacometti :

- appartenait à une famille d'artistes (père et frère)
- s'inspirait d'arts 'primitifs' d'Afrique, d'Océanie, mais aussi d'oeuvres de l'antiquité gréco-romaine et égyptienne
- dessinait, souvent au stylo à bille, sur différents supports, parfois sur bois
- sculptait, notamment à partir de fil recouvert de plâtre
- faisait mouler ses sculptures en bronze - parfois doré en référence à l'art égyptien
- s'est joint aux mouvements cubistes et surréalistes de son époque (beaux arts, poésie, littérature...)
- a sculpté beaucoup de visages et de corps, mais a aussi dessiné des paysages
- a donné naissance à des géants et des lilliputiens : « des figures qui s'étirent tout en longueur et d'autres si petites qu'elles tiennent dans des boîtes d'allumettes... »
- passait des représentations réalistes aux formes stylisées, avec le souci constant de « saisir la silhouette humaine ».

Encore un numéro de DADA riche et passionnant, pour ceux qui ne connaissent pas l'artiste.
J'ai rarement été déçue par cette revue, il suffit en général de bien choisir son sujet.

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18 oct.