
Tout le monde poursuit son petit bonhomme de chemin chaotique, qui à Yopougon, qui en prison, qui à Paris.
Le fond et la forme restent identiques : force féminine, défauts masculins (quelques hommes sont intègres et même bons, ouf !), reparties vives et souvent drôles, notamment grâce aux expressions locales, superbe graphisme expressif et joliment coloré.
Il est toujours question de lutte (contre soi-même et les autres) pour vivre son homosexualité librement et sans la cacher aux parents, aux proches. Grâce à la franchise candide...
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